Vie associative Adsps

En vue de l'assemblée générale de l'association Adsps, nous envisageons de mettre en place des référents qui représenteront localement l'association Adsps.

Le but est le conseil, l'écoute, l'entraide, faire connaître l'association Adsps et que chaque personne ayant des soucis puisse se tourner vers Adsps, tout cela sans discrimination.

Le rôle de chacun est à définir en fonction de vos disponibilités, et de vos souhaits d'engagement.

Avec un coup de fil, cela permet d'en faire beaucoup.

Bien entendu vous ne seriez pas seule, l'idéal serait une personne par région

Qu'en pensez vous ?

Êtes vous partant, et sur quelle région ?

Ludovic

associationdsps@gmail.com

Adsps.fr

 

Le mar. 13 déc. 2022 à 19:23, Association ADSPS <associationdsps@gmail.com> a écrit :

ACCÈS AUX SOINS

Étendre la PDS  aux infirmières, sages-femmes et dentistes : la nouvelle idée du Gouvernement

Faute de médecins de garde « sur tout le territoire » les soirs et week-ends, le Gouvernement veut étendre la « permanence des soins » aux infirmiers, sages-femmes et dentistes, selon un amendement au PLFSS 2023.

 

Partant du constat que la permanence des soins ambulatoire des médecins libéraux ne parviennent pas à « garantir une couverture complète sur tout le territoire », l'exécutif entend « élargir le vivier » des soignants mobilisables, selon un amendement au Projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2023 déposé mardi soir. « La permanence des soins ne doit pas reposer que sur l'hôpital public ou que sur les médecins », a défendu la députée Stéphanie Rist, mardi lors d'une conférence de presse de l'Association des journalistes de l'information sociale (Ajis).

A titre d'exemple, un infirmier pourrait ainsi, sur demande du Samu, « évaluer en premier lieu le patient et la nécessité d'intervention » d'une ambulance. La mesure serait « assortie de contrôles et de réquisitions en cas de défaut de fonctionnement ». La rapporteure du projet de loi de financement de la Sécurité sociale, qui sera débattu dans l'Hémicycle à partir de jeudi, a expliqué que cette proposition était remontée de débats locaux dans le cadre du volet santé du Conseil national de la refondation (CNR).

« On met dans la loi l'objectif vers lequel on veut aller », mais « l'amendement ne précise pas d'emblée toutes les conditions, notamment de financement », a précisé Stéphanie Rist, renvoyant ces détails pratiques aux « premiers arbitrages » du CNR Santé, attendus « fin décembre, début janvier ».