Adsps accès publique
A D S P S
Association nationale de défense des soignants, Médicaux Sociaux et personnels sociaux* de toutes origines salariés intérimaires, vacataires, CDD, CDI, Fonctionnaire.
L'essentiel étant d'être de ces professionnels et salariés, nous n'agissons pas sur le secteur libérale.
Association sans but lucratif !
0 % de financement employeurs
100 % de financement issue des adhésions et des dons des particuliers.
Cela donne une grande liberté de mouvement et aucun retour de service.
Écoute, Entraide, Conseils y compris juridique si besoin.
15 euros par année civile, glissante.
de date à date année plus 1.
Adsps.fr
*Liste exhaustive des professions éligible à l'association Adsps.
Médecin, Infirmière, Aide-Soignante, AMP, Auxiliaire de Vie, Auxiliaire de Vie scolaire, Manipulateur radio, Laborantin, Pharmacien, Préparateur en pharmacie, Aide-ménagère, Infirmière Scolaire, Éducateur spécialisé…
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ACCÈS AUX SOINS
Étendre la PDS aux infirmières, sages-femmes et dentistes : la nouvelle idée du Gouvernement
Faute de médecins de garde « sur tout le territoire » les soirs et week-ends, le Gouvernement veut étendre la « permanence des soins » aux infirmiers, sages-femmes et dentistes, selon un amendement au PLFSS 2023.
Partant du constat que la permanence des soins ambulatoire des médecins libéraux ne parviennent pas à « garantir une couverture complète sur tout le territoire », l'exécutif entend « élargir le vivier » des soignants mobilisables, selon un amendement au Projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2023 déposé mardi soir. « La permanence des soins ne doit pas reposer que sur l'hôpital public ou que sur les médecins », a défendu la députée Stéphanie Rist, mardi lors d'une conférence de presse de l'Association des journalistes de l'information sociale (Ajis).
A titre d'exemple, un infirmier pourrait ainsi, sur demande du Samu, « évaluer en premier lieu le patient et la nécessité d'intervention » d'une ambulance. La mesure serait « assortie de contrôles et de réquisitions en cas de défaut de fonctionnement ». La rapporteure du projet de loi de financement de la Sécurité sociale, qui sera débattu dans l'Hémicycle à partir de jeudi, a expliqué que cette proposition était remontée de débats locaux dans le cadre du volet santé du Conseil national de la refondation (CNR).
« On met dans la loi l'objectif vers lequel on veut aller », mais « l'amendement ne précise pas d'emblée toutes les conditions, notamment de financement », a précisé Stéphanie Rist, renvoyant ces détails pratiques aux « premiers arbitrages » du CNR Santé, attendus « fin décembre, début janvier ».